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​​Barbie voyage, Barbie évolue, Barbie triomphe. A l’âge de 54 ans, la poupée MATTEL s’affiche comme un sex-symbole planétaire aux millions de fans. Barbie parfaite ? Au vu des chiffres, c’est ce qu’il pourrait sembler. La perfection serait donc dotée d’une chevelure blonde, d’une poitrine opulente et d’une taille extrêmement fine. Une perfection aux proportions qui, ramenées à échelle humaine, s’avèrent dangereusement irréalistes. Barbie parfaite ? Peut être. Barbie malsaine ? Surement. Barbie polémique ? Indubitablement. C’est qu’elle en suscite des débats, la jolie poupée. Entre critiques véhémentes, amateurs sans limite et interdictions religieuses, la controverse est forte et les contestations nombreuses. Qualifiée de révolutionnaire, la poupée mannequin s’affiche comme le porte-drapeau de la femme moderne. On lui prête des valeurs, on lui assimile un message. Barbie est une femme émancipée, dit-on. Fashion-addict active avant d’être mère, elle voit le jour durant les Trente Glorieuses comme un symbole de la société de consommation. Égérie d’un mode de vie typiquement américain, elle transmet son modèle de socialisation à des milliers d’enfants à travers le monde. Parce qu’elle est universelle, aussi, la Barbie. Brune, rousse, afro américaine ou encore latine, la poupée se décline et s’adapte un peu partout sur le globe. Barbie se promène, Barbie s’affiche, Barbie s’impose. Elle a pris un billet vers l’Orient, aussi. A poupée provocante, accueil mitigé. On la dit décadente, on la qualifie de contraire aux mœurs. Dans des sociétés arabo-musulmanes où la religion tient place de pilier social, Barbie se heurte à une controverse générale.

​A travers ce site, nous, humble groupe de TPE, vous proposons une étude approfondie sur Barbie, idéal féminin, et son adaptation socioculturelle au monde arabe. 

Barbie Who ?

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